JB Mpiana est un auteur-compositeur-interprète de la République Démocratique du Congo (RDC), Jean-Bedel Mpiana Tshintuka dit « JB Mpiana » fut le président du groupe Wenge Musica BCBG 4×4 Tout-Terrain. Il s’illustre en 1997 avec son premier opus solo, Feux de l’amour, notamment avec le titre phare « Ndombolo », du rythme congolais très dansant.
Nouvelles Recettes
Le Nsamba binga est l’association Chrétienne des Femmes de l’Eglise Presbytérienne Camerounaise. Elles sont très actives au sein et en dehors de l’église et jouent souvent le rôle de tampon lors de conflits. Mais elles sont surtout connues pour être de vraies animatrices grâce à leurs chants qui sont des louanges contemporaines à Dieu, chants dans lesquels, elles n’hésitent pas à dénoncer les travers et dérives de la société.
Le trio multiracial du hiphop camerounais, mi Bassa, mi français appelle à la fête, “à danser le makossa, le bikutsi, l’assiko”.
Un mélange de Makossa et de Hiphop. Les auteurs interpellent la jeunesse à consommer local. “Nous ne sommes pas Américains, mais Camerounais. Il faut aimer ce qu’on est. Il faut proposer quelque chose au rendez-vous du donner et du recevoir”.
Des chansons teintées de mélancolie, souvent au rythme de R’n’B . Tant les thèmes influencés par le message générique qui est celui de l’Espoir (Honba) semblent s’associer à la voix des chanteurs. L’espoir que “tout ira mieux”, les souffrances dans “Ndolo” et même la batterie forte et enlevée de “Hand’s up” ou la “Beauté africaine” qui exalte en Français, en Anglais et en Ewondo la femme du continent noir poussent plutôt à l’écoute. Le faîte de la nostalgie est atteint avec la reprise de “Mbemba mot’a Sawa”.
Prince Eyango emerged from the African music scene in the late ’80s to become one of the continent’s most popular musicians. Born in a rural, mountainous region of Cameroon, far from the center of African pop music, Prince Eyango’s talents were recognized at the age of seven when he began singing in the church where his father was a pastor. In addition to singing, by the time he was 17 he had mastered the intricate arpeggio guitar style practiced in Cameroon, and was already turning his attention towards updating makossa, the traditional Cameroonian music that had always been played with a slow, soft beat.
By 1982, Prince Eyango had revolutionized makossa music by transforming it into a much more danceable form, and his group, Les Montagnards d’Afrique (the Mountain Dwellers of Africa), were performing nationwide. A move to Paris netted him a recording contract and access to state-of-the-art studios, which led to the creation of his biggest hit, “You Must Calculate,” in 1987. From this hit, Prince Eyango was named “Best Artist of the Year,” Cameroon’s highest musical honor, awarded by the Minister of Culture. By 1991 he had achieved a “Number One” music rating on the powerful, transcontinental Africa No. 1 Radio.
Annie ANZOUER, c’est une voix envoûtante qui vous plonge systématiquement dans un univers sain, celui d’Annie.
on l’a connu avec le groupe Golden sounds , aujourd’hui elle évolue toute seule.