Quarante ans, le bel âge pour un homme, la maturité épanouie et, bien souvent, des nuits agitées… par des troubles légers mais quelque peu embarrassants !
Des besoins d’uriner de plus en plus pressants et fréquents obligent alors à se lever plusieurs fois la nuit. Déception, la vessie se vide difficilement, le jet est faible ou il ne s’agit que d’une fausse envie. Douleur, l’action de d’uriner (la miction) s’accompagne de brûlures.
Et quand, de surcroît, les vertèbres lombaires, les jambes ou les hanches commencent, elles aussi, à faire souffrir, sans parler des rapports sexuels qui laissent à désirer, alors là… l’inquiétude monte.
Que se passe-t-il ?
Si ces symptômes s’accompagnent de fièvre ou de saignements, mieux vaut s’en occuper rapidement : ils peuvent révéler des affections sérieuses. Sans cela, ils annoncent juste le vieillissement des muscles et des glandes du système génito-urinaire, principalement la prostate et la vessie.
En effet, passé la quarantaine, un homme sur quatre connaît un problème prostatique et, après cinquante ans, les troubles urinaires de la prostate touchent 70% des hommes.
Avec l’âge, les envies deviennent plus pressantes
Examinons les organes concernés. La vessie est un organe creux en fibres musculaires, tapissé de muqueuses. A l’état normal, elle absorbe 3/4 de litre de liquide. Les fibres très élastiques se détendent sans aucun risque. A partir d’une certaine tension, un phénomène réflexe entraîne le besoin d’uriner. Avec l’âge, les fibres perdent leur élasticité. Le point de tension maximum est donc plus vite atteint. Par conséquent, les envie d’uriner augmentent.
La prostate, pas plus grande qu’une châtaigne, se situe tout près de l’ouverture de la vessie de l’homme. Tel un manchon, elle entoure le début de l’urètre, ce canal, qui permet d’évacuer l’urine et le sperme.
La prostate est constituée de fibres musculaires et fibreuses : elles enserrent de petites glandes qui déversent leurs produits dans l’urètre au moment de l’éjaculation.
Ces sécrétions viennent ainsi s’ajouter au liquide séminal qui provient des testicules et transport les spermatozoïdes. Elles les nourriront durant leur voyage jusqu’à l’ovule. En les recouvrant d’un enduit cireux, elles les protégeront aussi du milieu acide du vagin de la femme. En temps normal, l’homme profite du travail de la prostate sans même percevoir sa présence. Mais il arrive que les choses se gâtent…
Quand la prostate fait des siennes…
A la naissance, cette glande ne pèse que quelques grammes. A la puberté, elle grossit pour atteindre, en moyenne, vingt grammes à vingt ans. Une seconde poussée de croissance se produit chez 75% des hommes, à partir de cinquante ans. La prostate hypertrophiée exerce alors une pression sur l’urètre et empêche l’expulsion complète de l’urine contenue dans la vessie, d’où les symptômes cités plus haut.
Des infections menacent davantage la vessie tendue par des urines croupissantes. Le plus grand danger : l’hydronéphrose.
L’urine bloquée remonte vers les reins qui se dilatent et développent des lésions.
Conséquence : l’urémie, une intoxication de l’organisme. Les reins ne parviennent plus à éliminer les déchets toxiques qui passent alors dans le sang.
L’abus de diurétique ou la rétention urinaire habituelle, par exemple, chez les pilotes, les conducteurs de poids lourds, les chauffeurs de taxis, etc., peuvent eux aussi déboucher sur une hypertrophie de la prostate. Le manque d’exercice des membres inférieurs, la constipation, une alimentation trop riche, des stations assises prolongées aggravent les troubles.
Enfin, avec la présence d’un adénome, tumeur bénigne, ou d’un carcinome, tumeur maligne, cette glande s’hypertrophie également.
Toutes ces affections requièrent, à un stade avancé, un suivi médical, des traitements médicamenteux ou des opérations chirurgicales. Mais lorsqu’il ne s’agit que de troubles liés au vieillissement, il existe des moyens naturels et efficaces de se débarrasser des problèmes prostatiques et urinaires, très souvent liés chez l’homme.
Quand la prostate fait des siennes…
A la naissance, cette glande ne pèse que quelques grammes. A la puberté, elle grossit pour atteindre, en moyenne, vingt grammes à vingt ans. Une seconde poussée de croissance se produit chez 75% des hommes, à partir de cinquante ans. La prostate hypertrophiée exerce alors une pression sur l’urètre et empêche l’expulsion complète de l’urine contenue dans la vessie, d’où les symptômes cités plus haut.
Des infections menacent davantage la vessie tendue par des urines croupissantes. Le plus grand danger : l’hydronéphrose.
L’urine bloquée remonte vers les reins qui se dilatent et développent des lésions.
Conséquence : l’urémie, une intoxication de l’organisme. Les reins ne parviennent plus à éliminer les déchets toxiques qui passent alors dans le sang.
L’abus de diurétique ou la rétention urinaire habituelle, par exemple, chez les pilotes, les conducteurs de poids lourds, les chauffeurs de taxis, etc., peuvent eux aussi déboucher sur une hypertrophie de la prostate. Le manque d’exercice des membres inférieurs, la constipation, une alimentation trop riche, des stations assises prolongées aggravent les troubles.
Enfin, avec la présence d’un adénome, tumeur bénigne, ou d’un carcinome, tumeur maligne, cette glande s’hypertrophie également.
Toutes ces affections requièrent, à un stade avancé, un suivi médical, des traitements médicamenteux ou des opérations chirurgicales. Mais lorsqu’il ne s’agit que de troubles liés au vieillissement, il existe des moyens naturels et efficaces de se débarrasser des problèmes prostatiques et urinaires, très souvent liés chez l’homme.
Les graines de courges : un remède traditionnel qui fait ses preuves !
La prostate, la vessie, les muscles et les glandes sexuelles ont besoin de tonifiants. Des médecins ont découvert que les aliments, comme la graines de courge, riches en acides gras rajeunissent la prostate. Parmi ces médecins, le docteur Cooper de Los Angeles. En traitant ses patients avec des acides gras insaturés, il a fait diminuer la taille de la glande, les douleurs dans les jambes, les écoulements involontaires, et la fatigue. Inversement, la libido et le flot urinaire ont augmenté.
Le Dr Benjamin F. Sievem, de Boston, lui, a étudié deux cents malades atteints d’hypertrophie prostatique bénigne. Ses conclusions : 60% des cas étaient causés par une infection accompagnée d’une carence alimentaire. Ses patients ont modifié leur régime : 70% d’entre eux ont ainsi échappé à l’opération. D’une façon générale, il convient d’éviter la bière, le poivre de Cayenne, et de réduire l’alcool, le thé ou le café. En revanche, des repas très sains avec légumes, fruits frais, grains entiers, poisson, volaille et certains produits laitiers sont recommandés. Il faut privilégier les aliments riches en vitamine A : les muqueuses s’en servent pour combattre l’infection. Même chose pour la vitamine C : elle nettoie les voies urinaires et protège la prostate.
Le zinc que l’on trouve dans les huîtres, par exemple, se révèle aussi d’une grande utilité. Des études américaines ont montré qu’avec une importante carence en cet oligo-élément, le volume de la prostate augmentait, les organes génitaux s’atrophiaient chez les adultes, et l’appétit sexuel diminuait au point de faire penser à de l’impuissance.
Science et médecine populaire
Enfin, en Allemagne, cette fois, au service d’urologie de l’hôpital de Rosenheim, le professeur Bauer a démontré l’effet thérapeutique anti-infectieux, anti-oedémateux et tonifiant pour la vessie des graines de courge sur cent quatre malades. Trois semaines après le début du traitement, on constatait une remarquable amélioration des prostates congestionnées, enflammées et des troubles sexuels ou urinaires.
La médecine populaire, elle, n’a pas attendu ces résultats scientifiques pour croire aux vertus de la graine de courge.
C’est l’une des quatre semences “froides” des Anciens avec le melon, la citrouille et le potiron. On considérait la graine de courge, comme calmante et rafraîchissante, souveraine en cas d’insomnie, de douleurs et d’inflammations urinaires. Elle avait aussi la réputation d’agir sur les mictions difficiles. Enfin, on la recommandait aux personnes souffrant d’affections rénales et œdèmes. De même, des hommes en Bulgarie, en Ukraine, en Turquie, etc., mangeaient une poignée de graines de courge tous les jours pour préserver leur vitalité. Ils n’avaient pas tort.
Les graines de courge renferment des acides gras insaturés stimulant la prostate, et constituent une excellente source de lécithine (nécessaire à la fabrication des hormones sexuelles), de vitamines A et B, et d’oligo-éléments comme le phosphore.
Ainsi, une fois de plus, la science a rejoint la médecine populaire, malgré tous les différents qui les opposent…
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