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le folong est une sorte d’épinard sauvage très consommé au Cameroun et en Afrique en général. Il se cuisine facilement et s’associe à presque tout. Je vous ai déjà présenté sauté à la morue cette fois je l’associe à l’arachide, ce qui en fait un plat très riche.
Pour 4 personnes env:
- 200g de folong équetté lavé et essoré (ou de l’épinard) (voir la méthode ICI)
- 100g de pâte d’arachides grillées
- 500g de viande de bœuf coupée en dés
- 20g de madjanga (écrevisses séchés)
- 1 gros oignon
- 3 cubes d’assaisonement
- 4 à 5 tomates
- 100ml d’huile de palme rouge
Préparation:
- faites cuire votre viande jusqu’à ce qu’elle soit tendre.
- Lavez et écrasez 1 oignon et la tomate.
- écrasez les écrevisses finement, de manière à obtenir une poudre.
- Dans une casserole, faites revenir le 2e oignons coupé en fines lamelles dans l’huile de palme légèrement blanchi.
- Rajoutez la tomate et laissez cuire 5 minutes environ à feu moyen en ajoutant 1 verre d’eau.
- Prélevez 4 à 5 cuillères à soupe de cette sauce que vous versez dans un bol contenant la pâte d’arachide, et mélangez de façon à obtenir une crème onctueuse lisse et sans grumeaux.
- Versez doucement cette crème dans la casserole contenant le poulet mélangez et laissez cuire environ 20mn (la sauce d’arachide à tendance à mousser alors ne couvrez votre casserole qu’à moitié)
- Rajoutez la viande et la poudre d’écrevisses et laissez mijoter 20 mn environ à feu doux.
- servez avec du plantain bouillie, du manioc ou du macabo.
3 commentaires
Merci, je vais essayer ça très bientot!!
je retrouve cette recette,la preférée de ma maman elle l’aime exactement comme tu l’as fait mais le problème nous les enfants on preferais la version frit à l’huile avec des tomates alors du coup on boudait celle -ci mais inutile de precciser qu’une fois que l’on avait faim on devorait le tout l’accompagnement c’était du macabo blanc cuit à l’etuvé; SOUVENIRS QUAND TU NOUS TIENS
LILY
tout à fait nous on préfère toujours les sautés, rôtis… du coup il y a tellement de recettes qu’on n’apprend pas juste parce qu’on ne les consomme pas